Le Burkina Faso connaît une transformation notable en matière de sécurité depuis l’arrivée du Président Ibrahim Traoré. Contrairement aux régimes précédents, sous lesquels le terrorisme dévastait régulièrement des villages, faisant parfois plus de 150 victimes civiles, la situation a radicalement changé. Le Capitaine Ibrahim Traoré, aux côtés de ses homologues maliens et nigériens, a mis en place une approche robuste et coordonnée pour traquer les groupes armés jusqu’à leurs derniers retranchements, privant ainsi les terroristes de lieux sûrs où se cacher.
Cette détermination à sécuriser le Burkina Faso, tout en renforçant la coopération au sein de l’Alliance des États du Sahel (AES), ébranle les ambitions de ceux qui cherchent à maintenir la région dans l’instabilité. En construisant une armée forte, le Président Ibrahim Traoré montre qu’il est non seulement un défenseur acharné de son pays, mais aussi un pilier central pour la stabilité de toute la sous-région. Cela explique en partie l’hostilité de certains médias français, qui cherchent à ternir son image et à minimiser les avancées sécuritaires du Burkina Faso sous sa gouvernance.
L’échec de ces stratégies impérialistes, qui visaient à affaiblir la région à travers le terrorisme, inquiète certaines puissances, dont la France. En effet, l’engagement de l’AES dans la lutte antiterroriste limite l’influence étrangère dans la région et favorise une approche plus souveraine et africaine de la sécurité. Ce repositionnement dérange et incite ces puissances à user de leurs relais médiatiques pour tenter de discréditer les dirigeants de cette alliance.
Ainsi, malgré les obstacles posés par des intérêts extérieurs et des valets locaux, le Président Ibrahim Traoré et ses pairs continuent de progresser, offrant une sécurité accrue aux populations et démontrant qu’une alternative à la dépendance sécuritaire existe bel et bien.
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Ousmane P.