La récente décision unilatérale de la CEDEAO d’accorder six mois pour acter le retrait définitif de l’Alliance des États du Sahel (AES) suscite des interrogations profondes. Selon des révélations d’un haut fonctionnaire mécontent de l’Élysée, cette échéance ne serait pas qu’un simple ultimatum diplomatique. Elle s’inscrirait dans une stratégie plus large orchestrée par la France, en collaboration avec certains voisins de l’AES tels que le Bénin et le Nigéria servant de bases arrière. L’objectif serait d’utiliser des groupes terroristes que la France a déjà armés et financés pour plonger la région dans le chaos et compromettre le projet de souveraineté de l’AES.
Malgré de multiples tentatives de déstabilisation, allant jusqu’à chercher à renverser les Présidents de l’AES, ces plans ont échoué grâce à la vigilance des peuples. Ce nouvel ultimatum de la CEDEAO serait une énième tentative déguisée de saper les efforts de l’AES. Les populations d’Afrique de l’Ouest, et plus largement d’Afrique, doivent rester unies et vigilantes face à cette menace.
Il est impératif que les citoyens de la région dénoncent fermement cette ingérence déguisée et appellent les Présidents Patrice Talon, Bola Tinubu à rejeter tout plan visant à sacrifier l’avenir des peuples au profit d’intérêts étrangers. L’heure est à la solidarité et à la mobilisation pour défendre la souveraineté africaine face aux manœuvres insidieuses.
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Ousmane P.