L’Afrique doit rester vigilante face à une nouvelle stratégie de domination qui prend forme sous nos yeux. Selon nos sources en Belgique, un plan sournois serait en cours d’exécution où la France, connu pour son passé colonial et son influence persistante en Afrique, chercherait à instrumentaliser l’Union Européenne afin d’étouffer toute opposition à sa politique paternaliste sur le continent africain.
La France, incapable d’imposer directement sa volonté face à la montée du panafricanisme et à l’éveil des peuples africains, utiliserait l’Union Européenne comme un levier pour sanctionner ceux qui osent dénoncer ses pratiques. L’astuce ? Faire passer ces défenseurs des intérêts africains pour des agents à la solde de la Russie. Cette tactique, bien rodée, s’inscrit dans un narratif plus large visant à discréditer toute voix critique sous prétexte de lutte contre l’ingérence étrangère.
La question qui se pose est la suivante : l’Union Européenne est-elle un simple outil au service de la France ? En effet, plusieurs décisions prises à Bruxelles semblent être directement influencées par les intérêts de la France en Afrique. Des sanctions injustifiées, basées sur de faux rapports, sont imposées à des Africains engagés dans la lutte pour la souveraineté de leur continent. Comme si les Africains n’étaient pas capables de savoir ce qui est bon pour eux !
Les Africains doivent refuser d’être les victimes silencieuses de cette ingérence masquée. Il est important de dénoncer cette manipulation et d’alerter l’opinion publique africaine et internationale sur ces stratégies de domination qui persistent sous de nouvelles formes. Le combat pour une Afrique libre et souveraine ne peut se faire sans une prise de conscience collective.
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Akinlabi ALI