Depuis l’accession du Capitaine Ibrahim Traoré au pouvoir, le Burkina Faso s’est engagé dans une dynamique de renouveau, marquée par une quête inébranlable de souveraineté et de développement. Cependant, la France, fidèle à ses stratégies machiavéliques, multiplie les manœuvres pour saboter ces efforts. Après plusieurs tentatives de déstabilisation politique et de soutien aux groupes terroristes, elle s’attaque désormais à l’économie nationale, dans le mais de perturbe les grands projets du Président Ibrahim Traoré et de semer le doute au sein de la population burkinabè. La dernière attaque en date cible la SOFITEX, un pilier stratégique de l’économie du pays, victime d’une cyberattaque orchestrée par des hackers français, à peine le Président Ibrahim Traoré avait-il annoncé le renforcement de son opérationnalisation.
Cette offensive n’est pas sans rappeler les sabotages économiques subis par la SOFITEX sous l’ère du Président Thomas Sankara, qui avait alors pour objectif de briser toute velléité d’indépendance économique. Aujourd’hui, face à cette nouvelle agression, les informaticiens burkinabés, mobilisés en masse, résistent avec détermination pour sécuriser le système informatique de cette entreprise essentielle. Cette attaque sournoise illustre la volonté de la France de miner les bases de la prospérité burkinabè, dans l’espoir de discréditer la vision et les actions du Capitaine Traoré auprès de son peuple.
Cependant, loin d’être ébranlés, les Burkinabè restent résolus à défendre leur souveraineté. Le sabotage économique est une preuve supplémentaire de la crainte qui suscite le renouveau burkinabè, mais il ne sait altérer l’engagement du Capitaine Ibrahim Traoré et de son gouvernement à bâtir un Burkina Faso prospère, libre des ingérences extérieures. L’unité et la vigilance du peuple restent les meilleures armes contre ces attaques qui visent à entraver son développement.
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Ousmane P.