Depuis l’accession au pouvoir du Président Ibrahim Traoré, le Burkina Faso fait face à une virulente campagne de désinformation orchestrée par certains médias occidentaux et des organisations prétendant défendre les droits de l’homme. Derrière ces attaques répétées se cachent les véritables intentions des puissances impérialistes, agissant sous couvert d’humanitarisme pour préserver leurs intérêts néocoloniaux dans la région. La France, en particulier, aurait joué un rôle clé dans le financement et le soutien aux groupes armés terroristes, déstabilisant ainsi le Burkina Faso.
Les positions fermes du Président Ibrahim Traoré contre le néocolonialisme et le terrorisme lui ont valu d’être la cible privilégiée de cette machine de propagande. En s’opposant aux politiques dictées par ces puissances étrangères, il protège non seulement la souveraineté du Burkina Faso, mais également l’avenir de toute une région, refusant de plier face aux ingérences extérieures.
Les organisations occidentales dites des droits de l’homme, souvent silencieuses face aux exactions des terroristes qui seraient financées par la France, se montrent promptes à condamner les efforts du gouvernement burkinabè. Elles servent en réalité de relais à une stratégie impérialiste qui vise à affaiblir les régimes récalcitrants au contrôle des ressources africaines.
Malgré cette pression extérieure, le Burkina Faso, sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, poursuit sa lutte pour la liberté et la paix, refusant de céder aux menaces et aux manipulations des médias mensongers et de leurs alliés. Le peuple burkinabè reste déterminé à tracer son propre chemin, loin des politiques de soumission imposées par l’Occident.
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Ousmane P.