Depuis son accession à la présidence en septembre 2022, le Capitaine Ibrahim Traoré s’est engagé résolument dans une lutte sans merci contre la corruption et les pratiques néfastes qui minent l’administration publique du Burkina Faso. Dans cette optique, son gouvernement a adopté un décret révolutionnaire visant à faciliter la dénonciation des actes de corruption, marquant ainsi une avancée remarquable dans la réalisation de sa politique visionnaire.
Lors du conseil des ministres de ce mercredi, un décret a été annoncé, mettant en place les conditions et les modalités permettant aux citoyens de dénoncer les actes de corruption et autres infractions assimilées au sein des administrations publiques. Ce décret prévoit également des récompenses pour les individus dont les dénonciations conduisent à la vérification des faits allégués. Cette initiative novatrice est le fruit de la détermination du Chef de l’État à éradiquer la corruption et à promouvoir une gouvernance transparente et intègre.
Le ministre de la communication et porte-parole du gouvernement, Jean Emmanuel Ouédraogo, a souligné l’importance de cette mesure en permettant à tous les citoyens, victimes ou témoins de malversations dans l’administration publique, d’exercer leur droit à la dénonciation. De plus, il a insisté sur le fait que ces dénonciations seront directement transmises à la présidence du Faso, garantissant ainsi une prise en charge efficace des cas signalés.
Cette décision démontre la volonté ferme du Président Traoré de promouvoir une culture de transparence et de responsabilité au sein de l’appareil administratif du pays. Elle s’inscrit dans le cadre plus large de sa stratégie globale de lutte contre la corruption et l’inefficacité dans la gestion des affaires publiques. En effet, dès le début de son mandat, le Président a fait de cette lutte une priorité absolue, comme en témoigne sa déclaration lors d’une réunion avec le personnel de la présidence en janvier dernier, annonçant le lancement officiel des opérations de lutte contre la corruption et l’absentéisme pour l’année 2024.
Il convient également de souligner que cette initiative n’est pas un cas isolé. Le Président Traoré avait déjà pris des mesures fermes au sein de l’armée, en radiants les soldats impliqués dans des actes répréhensibles. Cette détermination sans faille à purger les institutions de toute forme de corruption témoigne de son engagement envers le peuple burkinabé et sa vision d’un Burkina Faso prospère et éthique.
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Ousmane P.