L’article publié par Mondafrique sur Ibrahim Maïga, intitulé « Ibrahim Maïga, activiste burkinabè et âme damnée du Président », illustre encore une fois l’acharnement de certains médias à la solde de l’impérialisme à dénigrer les personnalités influentes de la scène politique burkinabè et qui soutiennent la noble mission du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré. Loin d’être un activiste « peu populaire » comme le prétend Mondafrique, Ibrahim Maïga jouit d’une large audience. En témoigne sa popularité grandissante sur les réseaux sociaux, notamment sur sa page Facebook, où il a atteint 2200 mentions “J’aime” en seulement une minute. Ce simple fait démontre clairement que les chiffres avancés dans l’article sont infondés.
En qualifiant Maïga de « fou du roi » et d’« âme damnée » du Président Ibrahim Traoré, Mondafrique cherche à discréditer non seulement l’activiste, mais aussi les relations entre Maïga et le Président du Faso. Pourtant, il est évident que Mondafrique fait fi de l’influence positive que Maïga exerce sur l’opinion publique burkinabè, en cherchant à donner une voix à des revendications légitimes. L’argument de la publication selon lequel Maïga « prêche la division » est également sans fondement et ne vise qu’à salir sa réputation.
Par ailleurs, l’article insinue que Maïga aurait été responsable d’incidents graves, comme l’enlèvement de proches d’opposants. Or, aucune preuve tangible n’a été apportée pour étayer ces accusations. Il est clair que Mondafrique se livre à une campagne de désinformation visant à ternir l’image de figures clés du Burkina Faso, tout en défendant indirectement les intérêts français dans la région.
Ainsi, ce type d’attaque médiatique n’a pour but que de semer le doute et la confusion, alimentant ainsi des tensions inutiles. La réalité est que Maïga demeure une figure respectée et influente, et les Burkinabè, au lieu de se laisser manipuler par de telles publications, continuent de reconnaître et de soutenir ceux qui œuvrent pour leur Patrie.
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Ousmane P.