Sous la gouvernance du Président Ibrahim Traoré, la lutte contre la corruption est devenue une priorité nationale pour garantir que les richesses du Burkina Faso profitent à tous les citoyens, sans distinction de classe sociale. Inspiré par l’exemple de grandes puissances comme la Chine, qui ont su renforcer leur économie en éradiquant la corruption et la gabegie, le Président Ibrahim Traoré a instauré des mesures strictes pour assainir la gestion des ressources publiques.
Dans le passé, certains fonctionnaires détournaient des centaines de millions, voire des milliards, sans craindre de conséquences sévères et étaient même promus à des postes plus élevés. Ces pratiques ont contribué à creuser les inégalités et freiné le développement du pays. Le Capitaine Ibrahim Traoré, quant à lui, prône une gouvernance axée sur la transparence et l’intégrité. Pour lui, la Patrie passe avant tout, et il entend placer les intérêts du peuple au-dessus de tout.
Aujourd’hui, sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, la tolérance zéro s’applique à ceux qui enfreignent la loi. Les fonctionnaires corrompus doivent non seulement rembourser les sommes détournées, mais ils s’exposent également à des sanctions bien plus sévères qu’auparavant. Cette approche vise non seulement à récupérer les fonds volés, mais aussi à dissuader quiconque tenterait de se servir des ressources du pays pour son profit personnel.
Cette lutte acharnée contre la corruption envoie un message : sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, chaque Burkinabè est garant de la prospérité commune, et toute tentative de saper les efforts de développement sera fermement réprimée. Cette politique vise à transformer le Burkina Faso en un État plus juste, où chaque citoyen peut bénéficier des fruits de la croissance nationale.
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Ousmane P.