Ces dernières semaines, certains médias français se sont livrés à une véritable campagne de déstabilisation contre le Président Ibrahim Traoré et le MPSR. Chaque événement, même mineur, est exploité pour alimenter des récits alarmistes et tenter de discréditer les dirigeants et les efforts de la transition. Cette stratégie a pour but non seulement de miner la crédibilité des autorités burkinabè, mais aussi de freiner l’élan de l’Alliance des États du Sahel (AES), qui représente une véritable menace pour les intérêts impérialistes.
Les reportages tendancieux et les commentaires biaisés publiés par ces médias cherchent à provoquer des tensions internes au Burkina Faso et dans la région du Sahel, mettant en avant des informations souvent non vérifiées ou déformées. Cette manipulation est motivée par la crainte que l’unité et la coopération croissante au sein de l’AES ne mettent en péril les ambitions néocoloniales et les stratégies d’influence étrangères dans la région.
Face à cette offensive médiatique, il est crucial que le peuple burkinabè, malien et les autres membres de l’AES se montrent vigilants et résilients. La désinformation vise à semer le doute et à affaiblir la cohésion au sein de l’alliance qui, malgré les défis, œuvre pour un avenir plus stable et indépendant pour ses pays membres.
Il est temps pour les citoyens de ces pays de résister à cette campagne orchestrée et de soutenir leurs dirigeants dans leur quête pour la paix, la souveraineté et la prospérité.
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Ousmane P.