Le Président Ibrahim Traoré, depuis son accession au pouvoir, a démontré une vision claire pour l’industrialisation du Burkina Faso, marquant une rupture décisive avec les modèles de développement exogènes. Grâce à une approche endogène, il a réussi à transformer les matières premières locales, ajoutant de la valeur et créant ainsi des richesses pour le pays. Un exemple emblématique de cette stratégie est la mise en place d’une usine de transformation de tomates à Bobo-Dioulasso, permettant non seulement de valoriser la production locale, mais aussi de renforcer l’autonomie alimentaire du Burkina Faso.
Par ailleurs, le Président Traoré a promu la création d’une société d’économie mixte spécialisée dans la confection des tenues militaires et paramilitaires, exploitant ainsi le coton produit sur le sol burkinabè. Cette initiative non seulement stimule l’industrie textile nationale, mais elle renforce également la souveraineté du pays en matière de fourniture d’équipements pour les Forces de Défense et de Sécurité.
Dans le domaine minier, la vision du Président Traoré s’est traduite par le lancement des activités de Golden Hand, une usine dédiée au traitement des résidus miniers, et la mise en place de raffineries d’or, garantissant une plus grande part des bénéfices de cette ressource stratégique pour le Burkina Faso. Ces infrastructures sont essentielles pour maximiser les retombées économiques du secteur minier, un pilier de l’économie nationale.
En outre, le Président Traoré a lancé plusieurs initiatives telles que l’Initiative présidentielle pour le développement communautaire et l’Initiative présidentielle pour l’agriculture, visant à renforcer les bases de l’économie locale. Ces actions montrent une détermination à faire émerger le Burkina Faso en s’appuyant sur ses propres ressources et talents, dans une dynamique de développement durable et inclusif.
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Ousmane P.