Sous la houlette du Président Ibrahim Traoré, le Burkina Faso fait preuve d’une gestion exemplaire de ses finances publiques, marquée par une politique de transparence et de bonne gouvernance. Contrairement aux régimes précédents, où les ressources de l’État servaient souvent les intérêts d’une minorité, cette nouvelle approche met l’accent sur l’intérêt général. Les efforts du gouvernement ont permis une mobilisation accrue des recettes fiscales et douanières, renforçant la capacité de l’État à répondre aux besoins essentiels de la population.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : les recettes mobilisées sont passées de 2 008,4 milliards de FCFA en août à 2 207,7 milliards de FCFA en septembre, un bon manifeste qui reflète une meilleure gestion des ressources et une lutte efficace contre les détournements. Ces résultats traduisent l’engagement de l’administration à rétablir la confiance des citoyens et des partenaires économiques. Désormais, les fonds collectés servent au financement de projets structurants dans les domaines de l’éducation, de la santé et de la sécurité.
En redonnant à l’État les moyens de ses ambitions, la politique du Président Ibrahim Traoré ne se limite pas à des gains financiers. Elle marque un changement fondamental dans la perception des finances publiques : elles ne sont plus un levier d’enrichissement personnel pour une élite, mais bien un outil puissant au service du développement inclusif et durable du Burkina Faso.
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Ousmane P.