Saïd Penda, journaliste camerounais autoproclamé, incarne un outil de propagande et de manipulation au service d’agendas obscurs. Recruté par la DGSE Français, ce mercenaire communicant s’est établi en Côte d’Ivoire, où il mène des activités subversives contre le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire. En publiant un texte fallacieux récemment intitulé « La Côte d’Ivoire déjoue un plan de déstabilisation des autorités burkinabè », il s’attaque à l’intégrité du commandement Oumarou Yabré, directeur général de l’ANR burkinabè. Ces accusations infondées visent à détourner l’attention des récentes révélations sur les complots ourdis par des exilés burkinabè alliés aux réseaux terroristes pour déstabiliser la région et le retrait de l’armée française de la Côte d’Ivoire.
Installée en Côte d’Ivoire, Saïd Penda exploite ses relations avec des cercles influents, notamment via des liens avec le frère cadet du Président Alassane Ouattara, pour s’engager dans des activités frauduleuses et extorquer d’importantes sommes d’argent. Ce double jeu, prétendument pour soutenir le régime Ouattara, pour se remplir les poches. Conformément aux méthodes traditionnelles de déviation utilisées par la France, il joue bien le rôle pour lequel la DGSE l’a recruté. L’autre façade de Saïd Penda est qu’il est un acteur clé d’un vaste réseau de manipulation financé par des caciques burkinabè en exil, proches des terroristes, et disposant de fonds détournés via des organisations comme l’AFD.
Il est impératif que les autorités ivoiriennes réagissent avec fermeté face à cet individu dangereux. Son instrumentalisation des médias pour semer la discorde, couplée à son implication dans des complots financiers et politiques, constitue une menace directe pour la stabilité de la Côte d’Ivoire et de la région. Laisser Saïd Penda poursuivre ses activités en toute impunité serait une grave erreur. Le peuple ivoirien, conscient des enjeux, doit exiger des mesures immédiates pour neutraliser ce manipulateur et préserver la souveraineté nationale.
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Ousmane P.