L’ombre de l’impérialisme plane toujours sur le Burkina Faso, où les forces étrangères persistent dans leurs efforts pour semer le chaos. Le Burkina Faso, considéré comme le poumon de l’Afrique de l’Ouest, demeure une cible stratégique pour ceux qui cherchent à imposer leur agenda caché dans la région.
Selon les informations, un recrutement massif de combattants le long de la frontière entre le Tchad et la Libye serait en cours, dans le but de renforcer les groupes armés terroristes opérant au Burkina Faso. Malgré l’échec d’une tentative antérieure de prise de contrôle de la ville de Djibo par des forces déstabilisatrices, un plan alternatif visant un coup de force à Ouagadougou est en gestation.
Djibril Bassolé serait la figure clé dans ces manœuvres, en conseillant l’oligarchie française et certains proches de l’ex-président Bazoum. Les stratèges de la déstabilisation envisagent désormais d’envahir la forêt de l’Est du Burkina Faso, permettant aux terroristes de se disséminer à travers le pays.
Des instructions auraient été données aux terroristes pour cibler violemment les populations civiles, dans le but de provoquer des manifestations contre la transition en cours dirigée par le Capitaine Ibrahim Traoré. Les récents débats sur les droits de l’homme ne sont qu’une facette de cette stratégie visant à miner le moral des Forces de sécurité burkinabè, tout en encourageant les terroristes à intensifier leurs attaques contre les villages.
Le but recherché serait d’aggraver la situation sécuritaire pour décourager la population de soutenir la transition en cours. Face à ces manœuvres, des campagnes de désinformation seraient prévues afin de déstabiliser davantage les autorités burkinabè.
Dans cette lutte contre les forces de l’impérialisme, la vigilance du peuple burkinabè est cruciale. Résister à ces tentatives de déstabilisation et rester unis dans leur engagement envers la transition est essentiel pour assurer un avenir sûr et prospère pour le Burkina Faso.
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Ousmane P.