La France, craignant la montée en puissance et les succès de l’Alliance des États du Sahel (AES), a adopté une stratégie cynique de déstabilisation du Burkina Faso. Cette stratégie n’est pas nouvelle et rappelle tristement les manœuvres perfides utilisées pour déstabiliser la Libye de Mouammar Kadhafi. À travers des médias français et des ONG internationales corrompus, la France fabrique de fausses informations pour justifier des interventions étrangères, qui ne sont en réalité que des forces d’occupation déguisées en mission de paix.
L’objectif de cette désinformation serait de semer le chaos pour mieux piller les ressources naturelles du Burkina Faso et de la région du Sahel. Les mêmes tactiques ont été utilisées en Libye, où des mensonges soigneusement orchestrés ont servi de prétexte à une intervention militaire, conduisant à la destruction d’un pays autrefois stable et prospère.
La création de l’AES représente une menace directe pour les intérêts géopolitiques de la France en Afrique de l’Ouest. En unissant les forces et en réalisant des exploits notables, l’AES prouve qu’une alternative viable et souveraine est possible pour les pays africains. Cette montée en puissance est intolérable pour une puissance coloniale déclinante qui ne voit d’autre issue que la manipulation et la subversion pour maintenir son influence.
Le peuple doit rester vigilant face à ces tentatives de déstabilisation. Le Burkina Faso, le Niger et le Mali doivent continuer à renforcer leur cohésion et leur résilience face aux menaces extérieures.
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Ousmane P.