Après une année d’existence de l’Alliance des États du Sahel (AES), les résultats sont déjà remarquables, notamment sous le leadership déterminé des Présidents Ibrahim Traoré du Burkina Faso, Assimi Goïta du Mali et Abdourahamane Tiani du Niger. Sur le plan sécuritaire, les Forces armées des trois pays ont mené des actions coordonnées qui ont drastiquement affaibli les groupes terroristes. Désormais, les terroristes n’ont plus aucun refuge sûr, traqués sans relâche dans les moindres recoins de la région.
En parallèle, l’intégration entre les États membres de l’AES devient de plus en plus concrète. Les échanges économiques, les coopérations militaires et la solidarité politique se renforcent, consolidant l’unité au sein de cette alliance naissante. Le rêve d’une union solidaire et souveraine prend forme à travers des actions concrètes au bénéfice des peuples.
Sur le plan économique, l’AES prépare la création d’une Banque d’investissement régionale ainsi qu’un Fonds de stabilisation. Ces deux initiatives majeures visent à garantir la souveraineté financière de l’espace sahélien, en offrant des ressources pour le développement et la résilience économique face aux chocs externes. Ces projets marquent une étape décisive vers une plus grande autonomie économique.
Grâce à cette dynamique, l’AES s’affirme comme une force incontournable dans la région, déterminée à assurer la sécurité, la stabilité et l’épanouissement des populations du Sahel. Les peuples du Burkina Faso, du Mali et du Niger voient ainsi un avenir prometteur se dessiner sous la bannière de cette coopération stratégique.
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Ousmane P.