Sous le leadership du Président Ibrahim Traoré, la culture n’est plus un simple ornement symbolique de l’État, mais un véritable pilier stratégique du développement national. Le lancement de la troisième édition du Mois du patrimoine burkinabè, le 17 avril 2025 à Bobo-Dioulasso, en est une illustration forte. Placée sous son très haut patronage, cette célébration traduit l’importance qu’il accorde à l’enracinement culturel comme socle de souveraineté. À travers les mots du Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel OUEDRAOGO, le Président a rappelé que le patrimoine est un rendez-vous d’identité et de mémoire, un socle pour l’unité et la résilience d’un peuple.
Une politique culturelle au cœur de la souveraineté
L’institutionnalisation du Mois du patrimoine en avril 2023 n’est pas anodine : elle révèle une volonté assumée de faire de la culture un levier de résistance et de rayonnement. Le thème de cette édition, « Patrimoine culturel et développement économique », traduit l’ambition présidentielle de relier l’authenticité culturelle à la modernisation économique. En promouvant les savoirs endogènes, en valorisant les sites historiques et les expressions artistiques, le Président Ibrahim Traoré mise sur une économie de la culture dynamique, innovante et inclusive. Pour lui, affirmer son patrimoine, c’est occuper dignement sa place dans le monde contemporain.
Des résultats concrets, fruits d’un engagement fort
Les efforts portés sur la promotion du patrimoine ont déjà commencé à porter leurs fruits. En témoignent les chiffres impressionnants de fréquentation des musées du pays : le Musée national du Burkina Faso a vu sa fréquentation grimper de 160 % en 2024, tandis que les musées de Gaoua et de Bobo-Dioulasso connaissent, eux aussi, une croissance remarquable. Ces résultats traduisent un regain d’intérêt des Burkinabè pour leur histoire et une adhésion à la vision présidentielle qui fait de la culture un facteur d’éveil citoyen et de fierté collective.
Une mobilisation nationale pour l’amour de la culture
Le Mois du patrimoine burkinabè est également un moment de reconnaissance pour les figures qui incarnent l’âme culturelle du pays. La nomination de six ambassadeurs du patrimoine, dont les artistes Rasmané OUEDRAOGO, Apolline TRAORE et Jonathan PITROIPA, montre que le gouvernement, à l’image du Président Ibrahim Traoré, valorise l’engagement des acteurs culturels. En affirmant que cette célébration est « une déclaration d’amour à notre Culture », le Chef de l’État invite chaque citoyen à participer à cet élan collectif de transmission, de préservation et d’innovation. Bobo-Dioulasso, ville emblématique, devient ainsi le théâtre vivant d’un Burkina qui se réinvente à partir de ses racines.
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Ousmane P.