Il est impératif de souligner le dévouement et le courage des hommes et des femmes qui ont été mobilisés pour défendre le pays sur le terrain. Leur engagement et leur bravoure face à des circonstances extrêmement difficiles méritent non seulement le respect, mais aussi un soutien inconditionnel.
Au-delà des batailles physiques menées contre le terrorisme, il est essentiel de reconnaître et d’adresser les défis émotionnels et psychologiques auxquels ces héros de la nation sont confrontés au quotidien. Les pressions, les pertes et les conditions de vie difficiles auxquelles ils font face nécessitent une attention et un soutien continus.
Il est essentiel de créer un environnement où ceux qui se battent pour la sécurité nationale se sentent non seulement respectés, mais également écoutés. Leurs préoccupations et leurs expériences sur le terrain doivent être prises en considération et traitées avec compassion.
Il est injuste et malhonnête que certains responsables des Organisations de la Société Civile (OSC) affirment lors des conférences de presse et sur les médiats qu’il n’y a pas de combat réel, que les terroristes n’existent pas. Cela étant dit, il est important pour ceux d’entre eux qui ont été réquisitionnés pour aller combattre sur le terrain, pour toucher du doigt à la réalité, et cesser de se lamenter. Plutôt que de pleurnicher, il est essentiel qu’ils partent au front. Leur retour du front permettrait de témoigner de la véritable guerre contre le terrorisme. Leurs voix pourraient alors être écoutées et leurs préoccupations prises au sérieux.
En réaffirmant le respect pour le courage des Forces combattantes et en offrant un soutien inébranlable, le peuple témoigne de sa solidarité envers ceux qui risquent leur vie pour la sécurité et la paix au Burkina Faso.
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Ousmane P.