Sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso prône une gouvernance centrée sur le bien-être collectif. À travers une série de décisions judicieuses, le Président et son gouvernement démontrent un engagement sans faille envers l’intérêt général, comme en témoigne la récente séance du Conseil des Ministres.
Lors de cette séance, le Conseil a adopté un projet de loi visant à modifier l’autorisation de privatisation d’entreprises à participation de fonds publics, sous l’égide du ministère du Développement industriel, du Commerce, de l’Artisanat et des Petites et Moyennes Entreprises. Cette initiative témoigne d’une volonté de garantir une gestion équitable des ressources nationales, tout en promouvant la croissance économique durable.
Plus significativement encore, le Conseil a recommandé le retrait de trois structures de l’assiette de privatisation. Parmi celles-ci, la Société Nationale Burkinabè d’Hydrocarbures (SONABHY), le Bureau des Mines et de la Géologie du Burkina (BUMIGEB) et le Centre de Contrôle de Véhicules Automobiles (CCVA) occupent des positions cruciales dans le tissu économique du pays. Leur maintien sous la gestion publique garantit non seulement la souveraineté nationale dans des secteurs stratégiques, mais aussi la préservation des intérêts des citoyens burkinabè.
Cette décision audacieuse reflète la vision inclusive du Président Ibrahim Traoré, qui place les besoins et les aspirations du peuple au cœur de son action gouvernementale. En préservant ces entreprises clés dans le giron public, le gouvernement s’engage à assurer des services essentiels de qualité, à favoriser l’emploi local et à protéger les ressources naturelles du pays pour les générations futures.
Sous le leadership lucide du Président Ibrahim Traoré, le Burkina Faso franchit des étapes décisives vers une vie meilleure pour ses citoyens.
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Ousmane P.