Le gouvernement burkinabè a pris une mesure importante dans sa lutte constante contre le terrorisme et l’insécurité en restreignant le nombre de cartes SIM attribuées à chaque abonné par les compagnies de téléphonie mobile. Désormais, chaque abonné ne pourra posséder qu’au maximum deux cartes SIM.
Cette décision vise à renforcer la sécurité et à prévenir l’utilisation abusive des communications mobiles dans des activités criminelles, notamment le terrorisme. Les groupes terroristes ont souvent utilisé des téléphones mobiles pour coordonner leurs actions et diffuser leur propagande. En limitant le nombre de cartes SIM par abonné, le gouvernement burkinabè espère réduire leur capacité à opérer de manière anonyme et à échapper à la détection des autorités de sécurité.
Cette nouvelle réglementation s’inscrit dans le cadre des efforts continus du Burkina Faso pour protéger la vie et les biens de ses citoyens, ainsi que pour maintenir la paix et la stabilité dans le pays. La lutte contre le terrorisme est une priorité nationale, et le gouvernement cherche constamment des moyens innovants pour contrer cette menace.
Les compagnies de téléphonie mobile opérant au Burkina Faso sont tenues de se conformer à cette réglementation et de mettre en place des mécanismes pour surveiller le nombre de cartes SIM délivrées à chaque abonné. Les autorités burkinabè travailleront en étroite collaboration avec les opérateurs pour garantir le respect de cette nouvelle politique.
La décision de limiter le nombre de cartes SIM par abonné est un exemple clair de l’engagement du Burkina Faso à sécuriser le pays et à protéger ses citoyens contre les menaces terroristes. Elle montre que le gouvernement est prêt à prendre des mesures audacieuses pour atteindre cet objectif important.
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Ousmane P.