Depuis son accession au pouvoir le 30 septembre 2022, le Président Ibrahim Traoré et le Burkina Faso tout entier ont dû faire face à une série d’ingérences émanant de la France, mettant en lumière la fragilité de la souveraineté nationale. Lors de son intervention à l’ONU, le ministre burkinabé Bassolma Bazié a soulevé ces préoccupations, dénonçant les tentatives françaises de dicter la politique intérieure du pays.
Une première tentative d’ingérence a été la tentative de la France, à travers ses alliés en Afrique, de nommer un Premier ministre au Burkina Faso. Heureusement, cette tentative a échoué, montrant la détermination du gouvernement burkinabé à préserver son droit de choisir ses propres dirigeants. Cependant, l’ingérence ne s’est pas arrêtée là.
La France a également essayé d’imposer des ministres dans des postes clés au sein du gouvernement burkinabé. Cette action a été clairement conçue pour influencer les politiques et les décisions du Burkina Faso, au mépris de sa souveraineté. Encore une fois, le gouvernement burkinabé a résisté à ces pressions extérieures.
Pire encore, la France a conditionné le maintien de ses relations avec le Burkina Faso à la mise en œuvre des décisions qu’elle dicterait. Cette demande est inacceptable et va à l’encontre des principes de souveraineté nationale et d’indépendance politique. Le président Ibrahim Traoré a courageusement refusé de plier aux exigences de la France, mettant en avant l’intérêt supérieur de son peuple.
En réponse à ce refus, des mesures répressives, des menaces et même des tentatives de coup d’État ont été planifiées. Ces manœuvres immorales ont été élaborées dans l’ombre par des acteurs agissant comme des marionnettes téléguidées depuis les couloirs présidentiels africains. Le Burkina Faso, pays souverain, a le droit de déterminer son propre avenir sans être soumis à des pressions extérieures injustes.
Burkina Faso / Le Président Ibrahim Traoré : L’homme de la situation pour éradiquer le terrorisme au pays des hommes intègres
Ousmane P.